Éternel sommeil !
Sur ce lit d'hôpital elle se meurt à petits feux ,
Face aux caprices de la faucheuse qui voile sa vie
Misérable spectacle que ne peut changer un génie
Ses pensées vagabondes vers ces doux yeux
Son corps palpite de nouveau de mille pierreries
Est il cet homme qui vient hanter sa pauvre âme
Que la vie est injuste elle est pour eux si infâme
Pourquoi le soleil éclaire aujourd'hui sa monotonie
Il a percé le silence déshérité à jamais son coeur
L'heure est grave alors que se creuse le caveau
Son sein palpite encore comme flotte un drapeau
Quand il pose sur elle le souffle de ses mots
Il est ce vin capiteux qui vient abreuver ses lèvres
N'ouvrez pas les portes du paradis pour elle !
Son coeur est en lambeaux qu'importe ces ailes
Si elle ne voit plus que l'enfer sans son orfèvre
Ô Dieu ôter sa peine ,ôter ses larmes ôter son indolence
Elle se soumet à la loi du ciel si bleu si admirable
Epancher sa soif donner l'envie de se mettre à table
Avant cet éternel sommeil accordez lui cette doléance...
LILASYS
Sur ce lit d'hôpital elle se meurt à petits feux ,
Face aux caprices de la faucheuse qui voile sa vie
Misérable spectacle que ne peut changer un génie
Ses pensées vagabondes vers ces doux yeux
Son corps palpite de nouveau de mille pierreries
Est il cet homme qui vient hanter sa pauvre âme
Que la vie est injuste elle est pour eux si infâme
Pourquoi le soleil éclaire aujourd'hui sa monotonie
Il a percé le silence déshérité à jamais son coeur
L'heure est grave alors que se creuse le caveau
Son sein palpite encore comme flotte un drapeau
Quand il pose sur elle le souffle de ses mots
Il est ce vin capiteux qui vient abreuver ses lèvres
N'ouvrez pas les portes du paradis pour elle !
Son coeur est en lambeaux qu'importe ces ailes
Si elle ne voit plus que l'enfer sans son orfèvre
Ô Dieu ôter sa peine ,ôter ses larmes ôter son indolence
Elle se soumet à la loi du ciel si bleu si admirable
Epancher sa soif donner l'envie de se mettre à table
Avant cet éternel sommeil accordez lui cette doléance...
LILASYS