Exprime-toi mon cœur
Exprime-toi mon cœur, avant que tu meures.
Avant que l’âme et le corps, soient divorcés
Exprime cette douleur qui vous torture.
Peut-être que tu vas être soulagé
Une douleur me creuse, et je ne peux crier.
Douleur de l’absence, me serre très fort.
Je danse sa cadence, le jour comme de nuit.
Et mes souvenances, réveillent cette douleur.
Au monde du silence, mon merle est parti.
Hier, mes proses, étaient pour une fleur.
Volé dans un corps, une nuit de pluie
Aujourd’hui, je pleure, ceux qui sont mort
Et malgré ma tumeur, moi, je vis
Je pleure le mort, et ceux qui vivent ailleurs.
En silence dans mon cœur, et sans voix
Je pleure encore, quand l’envie murmure.
Ma petite fleur, elle grandit loin et sans moi
Et ce triste décore, qui enchaîne mon cœur
Le merle que j’adore, sous terre sans moi
Je pleure cet amour, de moi le meilleur.
J’offre chaque jour, alors dis moi destin pourquoi ?
Tu m’as fait, du tords, avec tes mille tours.
As-tu trouvé que mon cœur, pour faire régner tes lois ?
Oh non mon cœur pourquoi cette douleur
As-tu oublié l’amour, que tu avais autrefois
Pourquoi le gris t’entoure, malgré les couleurs
Pourtant au printemps, que tu as fait tes premiers pas
Oh père oh mère, vous seuls que j’aime
Est ce que sous terre, mon fils est auprès de vous
Je l’ai mis sous les pierres, accueillez bien son âme.
Chaque jour dans mes prières, devant son tombeau
Dites lui que son père, son cœur te réclame
Et bientôt, j’espère, je fermerais mes yeux.
Et de nouveau, je vous serre, là où se rassembles les âmes.
Sous la miséricordieux de Dieu
À bientôt,
Je vous aime, fils.
Mustapha
Exprime-toi mon cœur, avant que tu meures.
Avant que l’âme et le corps, soient divorcés
Exprime cette douleur qui vous torture.
Peut-être que tu vas être soulagé
Une douleur me creuse, et je ne peux crier.
Douleur de l’absence, me serre très fort.
Je danse sa cadence, le jour comme de nuit.
Et mes souvenances, réveillent cette douleur.
Au monde du silence, mon merle est parti.
Hier, mes proses, étaient pour une fleur.
Volé dans un corps, une nuit de pluie
Aujourd’hui, je pleure, ceux qui sont mort
Et malgré ma tumeur, moi, je vis
Je pleure le mort, et ceux qui vivent ailleurs.
En silence dans mon cœur, et sans voix
Je pleure encore, quand l’envie murmure.
Ma petite fleur, elle grandit loin et sans moi
Et ce triste décore, qui enchaîne mon cœur
Le merle que j’adore, sous terre sans moi
Je pleure cet amour, de moi le meilleur.
J’offre chaque jour, alors dis moi destin pourquoi ?
Tu m’as fait, du tords, avec tes mille tours.
As-tu trouvé que mon cœur, pour faire régner tes lois ?
Oh non mon cœur pourquoi cette douleur
As-tu oublié l’amour, que tu avais autrefois
Pourquoi le gris t’entoure, malgré les couleurs
Pourtant au printemps, que tu as fait tes premiers pas
Oh père oh mère, vous seuls que j’aime
Est ce que sous terre, mon fils est auprès de vous
Je l’ai mis sous les pierres, accueillez bien son âme.
Chaque jour dans mes prières, devant son tombeau
Dites lui que son père, son cœur te réclame
Et bientôt, j’espère, je fermerais mes yeux.
Et de nouveau, je vous serre, là où se rassembles les âmes.
Sous la miséricordieux de Dieu
À bientôt,
Je vous aime, fils.
Mustapha
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