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[/floatleft] Les hivers de mon enfance ... Argent
J'aime quand revient cette saison hivernale
J'admire le cortège des flocons tous au bal
Je me souviens des rudes hivers de mon enfance
Cette nostalgie met ma mémoire en errance.
Notre petite maison était toute en pierres
Entourée de beaux arbres et aussi de lierres
En ce temps là, les hivers étaient toujours froids
Scintillante neige recouvrait tout le toit.
Devant toute cette splendeur immaculée
J'admirais sur les vitres la blancheur givrée
Formant des cascades déversant l'eau divine
Mon esprit inventait, la venue d'une ondine.
Ces paysages uniques aux magnifiques palais
En dentelles féériques, quand je les regardais
En reliefs ces cristaux, ces ruisseaux enchanteurs
Enjolivaient les carreaux, réchauffant mon cœur.
Sur le chemin de l'école, nous étions heureux
Valsant avec Éole...Neige chatouillait nos yeux.
Dans nos sabots de bois, nous faisions des glissades
Se terminant parfois, nez par terre en roulades.
Ô Hiver silencieux ouaté de mon enfance
En regardant les cieux de notre belle France
J'aspire à ta venue splendide comme autrefois
En poème je t'invite à séjourner chez moi.
J'aime quand revient cette saison hivernale
J'admire le cortège des flocons tous au bal
Je me souviens des rudes hivers de mon enfance
Cette nostalgie met ma mémoire en errance.
Notre petite maison était toute en pierres
Entourée de beaux arbres et aussi de lierres
En ce temps là, les hivers étaient toujours froids
Scintillante neige recouvrait tout le toit.
Devant toute cette splendeur immaculée
J'admirais sur les vitres la blancheur givrée
Formant des cascades déversant l'eau divine
Mon esprit inventait, la venue d'une ondine.
Ces paysages uniques aux magnifiques palais
En dentelles féériques, quand je les regardais
En reliefs ces cristaux, ces ruisseaux enchanteurs
Enjolivaient les carreaux, réchauffant mon cœur.
Sur le chemin de l'école, nous étions heureux
Valsant avec Éole...Neige chatouillait nos yeux.
Dans nos sabots de bois, nous faisions des glissades
Se terminant parfois, nez par terre en roulades.
Ô Hiver silencieux ouaté de mon enfance
En regardant les cieux de notre belle France
J'aspire à ta venue splendide comme autrefois
En poème je t'invite à séjourner chez moi.
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